De retour sur la terre ferme, nous passons une courte nuit à La Ceiba avant de reprendre le bus pour Tegucigalpa, la capitale du Honduras. T-Gus (prononcer Tégous) n'a pas grand chose à offrir aux touristes que nous sommes. Malgré tout, elle constitue un passage obligé sur la route du Nicaragua.
Après avoir laissé Marie-Laure à l'aéroport (pas bien plus grand que celui de Saint-Etienne de Saint-Geoirs), nous décidons de rester une nuit dans cette métropole, devenue capitale en 1880 de façon permanente. Elle doit son essor avant tout aux mines d'or et d'argent situées dans les montagnes qui l'entourent. Aujourd'hui, ces montagnes ont été grignotées par l'urbanisation permettant ainsi à T-Gus d'atteindre le million d'habitants.
Á quelques rues du parque central on trouve le Musée de l'Identité Nationale (baptisé ainsi en l'honneur d'un certain Brice Hortefeux), on l'on en apprend un peu plus sur l'histoire du Honduras, des tribus indigènes à l'époque actuelle en passant par la colonisation espagnole et la république bananière.
Tout le monde le sait, Tegucigalpa n'est pas une ville de bisounours et avec un peu de malchance on peut s'attendre à des emmerdes, même en plein centre-ville. Cependant, elles ne viennent pas toujours d'où on l'aurait pensé. Dans notre cas, ce sont les militaires, visiblement intrigués par nos tatouages, qui nous soumettent à une fouille, en pleine rue, afin de voir si par le plus grand des hasards on n'aurait pas un 9mm à la ceinture... Évidemment nos papiers sont restés à l'hôtel mais avec un peu de diplomatie (nous sommes des touristes français caporal!), ils nous laissent poursuivre notre époustouflante visite de la ville après nous avoir serré la main.
De jour, T-Gus est une fourmilière avec un nombre de commerces au mètre carré impressionnant. Et si la ville ne peut pas être qualifiée de belle, on trouve tout de même quelques parcs et églises émergeant de temps en temps à l'angle d'une rue. Mais dès que l'obscurité s'abat, le décor change drastiquement. La nuit tombée, tout ferme sur les coups de 19h et les rues sont envahies d'une faune un peu bizarre. Adolescents se shootant à la colle et ramasseurs de poubelles prennent possession des lieux, dans une ambiance des plus glauques. Les militaires et policiers qui font tellement bien leur travail ont soudainement disparu... Difficile pour nous de vous donner plus de détails, on a comme qui dirait écourté notre ballade nocturne... En voyant ça, on ne peut s'empêcher de se demander ce qui est arrivé à ce pays. Le Dieu qu'ils chérissent tant les aurait-il oublié ?
De regreso en la tierra firme, nos quedamos una noche en La Ceiba antes de tomar el bus hacia Tegucigalpa, la capital de Honduras. T-Gus no tiene mucho que ofrecer a los turistas que somos. Sin embargo, es una etapa indispensable para ir a Nicaragua.
Después de haber dejado a Marie-Laure en el aeropuerto, decidimos quedarnos una noche en esa metrópolis, donde se estableció la capital en el año 1880 de manera permanente. Debe su desarrollo sobre todo a las minas de oro y plata ubicada en las montañas que la rodean. Hoy en día, esta montañas fueron tragadas por la urbanización, permitiendo a T-Gus alcanzar el millón de habitantes.
A unas cuadras del parque central se encuentra el Museo de la Identidad Nacional, donde aprendemos un poco más sobre la historia de Honduras, desde los pueblos indígenas hasta la época actual pasando por la colonización española y la república bananera.
Todos lo saben, Tegucigalpa no es una ciudad de cariñositos y con mala suerte se puedentener algunos problemas, incluso en el centro histórico. Sin embargo, no siempre vienen de donde lo hubiéramos pensado. En nuestro caso, son los militares, visiblemente intrigados por nuestros tatuajes, que nos someten a un registro, en medio de la calle, para ver si de casualidad tenemos a un 9mm... Por supuesto, nuestras identificaciones se quedaron en el hotel pero con un poco de diplomacia (somos turistas franceses caporal!), nos dejan seguir con nuestra asombrosa visita de la ciudad, después de un apretón de manos.
De día, T-Gus es un hormiguero con un impresionante número de tiendas por metro cuadrado. Y si no se puede calificar la ciudad de bonita, se encuentran todavía algunos parques e iglesias apareciendo de vez en cuando en una esquina. Pero una vez que la oscuridad cae, el paisaje cambia de manera drástica. De noche, todo cierra alrededor de las 7 y las calles son invadidas por una fauna un poco rara. Adolescentes esnifando pegamento y cartoneros toman posesión del lugar, creando un ambiente bastante siniestro. Los militares y policías, que hacen tan bien su trabajo, desaparecieron de repente... Es difícil para nosotros darles más detalles, acortamos un poco nuestro paseo nocturno... Viendo eso, no podemos dejar de pensar, ¿que pasó con este país? ¿El Dios que valoran tanto les hubiera olvidado?
Après avoir laissé Marie-Laure à l'aéroport (pas bien plus grand que celui de Saint-Etienne de Saint-Geoirs), nous décidons de rester une nuit dans cette métropole, devenue capitale en 1880 de façon permanente. Elle doit son essor avant tout aux mines d'or et d'argent situées dans les montagnes qui l'entourent. Aujourd'hui, ces montagnes ont été grignotées par l'urbanisation permettant ainsi à T-Gus d'atteindre le million d'habitants.
Á quelques rues du parque central on trouve le Musée de l'Identité Nationale (baptisé ainsi en l'honneur d'un certain Brice Hortefeux), on l'on en apprend un peu plus sur l'histoire du Honduras, des tribus indigènes à l'époque actuelle en passant par la colonisation espagnole et la république bananière.
Tout le monde le sait, Tegucigalpa n'est pas une ville de bisounours et avec un peu de malchance on peut s'attendre à des emmerdes, même en plein centre-ville. Cependant, elles ne viennent pas toujours d'où on l'aurait pensé. Dans notre cas, ce sont les militaires, visiblement intrigués par nos tatouages, qui nous soumettent à une fouille, en pleine rue, afin de voir si par le plus grand des hasards on n'aurait pas un 9mm à la ceinture... Évidemment nos papiers sont restés à l'hôtel mais avec un peu de diplomatie (nous sommes des touristes français caporal!), ils nous laissent poursuivre notre époustouflante visite de la ville après nous avoir serré la main.
De jour, T-Gus est une fourmilière avec un nombre de commerces au mètre carré impressionnant. Et si la ville ne peut pas être qualifiée de belle, on trouve tout de même quelques parcs et églises émergeant de temps en temps à l'angle d'une rue. Mais dès que l'obscurité s'abat, le décor change drastiquement. La nuit tombée, tout ferme sur les coups de 19h et les rues sont envahies d'une faune un peu bizarre. Adolescents se shootant à la colle et ramasseurs de poubelles prennent possession des lieux, dans une ambiance des plus glauques. Les militaires et policiers qui font tellement bien leur travail ont soudainement disparu... Difficile pour nous de vous donner plus de détails, on a comme qui dirait écourté notre ballade nocturne... En voyant ça, on ne peut s'empêcher de se demander ce qui est arrivé à ce pays. Le Dieu qu'ils chérissent tant les aurait-il oublié ?
Qu'est ce qu'on nous reproche au fait? |
De regreso en la tierra firme, nos quedamos una noche en La Ceiba antes de tomar el bus hacia Tegucigalpa, la capital de Honduras. T-Gus no tiene mucho que ofrecer a los turistas que somos. Sin embargo, es una etapa indispensable para ir a Nicaragua.
Después de haber dejado a Marie-Laure en el aeropuerto, decidimos quedarnos una noche en esa metrópolis, donde se estableció la capital en el año 1880 de manera permanente. Debe su desarrollo sobre todo a las minas de oro y plata ubicada en las montañas que la rodean. Hoy en día, esta montañas fueron tragadas por la urbanización, permitiendo a T-Gus alcanzar el millón de habitantes.
A unas cuadras del parque central se encuentra el Museo de la Identidad Nacional, donde aprendemos un poco más sobre la historia de Honduras, desde los pueblos indígenas hasta la época actual pasando por la colonización española y la república bananera.
Todos lo saben, Tegucigalpa no es una ciudad de cariñositos y con mala suerte se puedentener algunos problemas, incluso en el centro histórico. Sin embargo, no siempre vienen de donde lo hubiéramos pensado. En nuestro caso, son los militares, visiblemente intrigados por nuestros tatuajes, que nos someten a un registro, en medio de la calle, para ver si de casualidad tenemos a un 9mm... Por supuesto, nuestras identificaciones se quedaron en el hotel pero con un poco de diplomacia (somos turistas franceses caporal!), nos dejan seguir con nuestra asombrosa visita de la ciudad, después de un apretón de manos.
De día, T-Gus es un hormiguero con un impresionante número de tiendas por metro cuadrado. Y si no se puede calificar la ciudad de bonita, se encuentran todavía algunos parques e iglesias apareciendo de vez en cuando en una esquina. Pero una vez que la oscuridad cae, el paisaje cambia de manera drástica. De noche, todo cierra alrededor de las 7 y las calles son invadidas por una fauna un poco rara. Adolescentes esnifando pegamento y cartoneros toman posesión del lugar, creando un ambiente bastante siniestro. Los militares y policías, que hacen tan bien su trabajo, desaparecieron de repente... Es difícil para nosotros darles más detalles, acortamos un poco nuestro paseo nocturno... Viendo eso, no podemos dejar de pensar, ¿que pasó con este país? ¿El Dios que valoran tanto les hubiera olvidado?
1 commentaires:
Comme des singes qu'on envoie dans l'espace..
lequel s'appelle Robert Polson?
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