Au départ de Trinidad, nous longeons la mer des Caraibes sur environ 60km (pour 2h de trajet...), jusqu´a Cienfuegos. Fondée par les francais, son nom n´a rien a voir avec Camilo Cienfuegos, autre héros de la révolution. Nichée au fond d´une baie, protégée des pirates et des caprices de la nature, la ville s´est convertie en un riche port indistriel. Mais aujourd´hui, décadence oblige, beaucoup de bateaux meurent sur les quais et donnent une couleur "rouille" a la mer. Ceci dit, Cienfuegos recelle de beaux immeubles coloniaux autour de la place José Martí (il est de partout celui la!) et le long du "boulevard".
La nuit, beaucoup d´animation dans le quartier de Punta Gorda. Inutile de vous décrire les soirées, je ne m´en rappelle plus... Malgré tout, nous restons actifs la journée, notamment pour aller a la plage! A bord d´un bus "urbano" (destiné aux masses populaires, du 100% cubain), nous rallions (en vie...) Rancho Luna. S´offrent alors a nous les traditionnelles eaux turquoises, les plages de sable fin, les palmiers, lesvendeurs de rhum, etc... Protégés des vagues par une barriere de corail, nous prenons l´apéro au coucher du soleil assis dans l´eau, au point de ne plus pouvoir en sortir, la température de la mer étant plus chaude que celle de l´air... La nuit tombe, les bus se font rares et nous rentrons finalement en "stop" (payant a Cuba...) a Cienfuegos.
Le lendemain, nous plions bagages et partons pour Santa Clara, sur la cote centre de l´ile. Vous l´aurez compris, pas de plages, mais un héritage historique colossal. Le 29 décembre 1958, 18 hommes de la colonne du Che (mais sans le Che, resté au chaud...) parviennent a faire dérailler et prendre un train blindé de l´armée de Batista, rempli d´armes et de munitions. Cet épiosde décisif trace la voie au révolutionnaires qui entreront victorieux quelques jours plus tard a la Havane.
La nuit, beaucoup d´animation dans le quartier de Punta Gorda. Inutile de vous décrire les soirées, je ne m´en rappelle plus... Malgré tout, nous restons actifs la journée, notamment pour aller a la plage! A bord d´un bus "urbano" (destiné aux masses populaires, du 100% cubain), nous rallions (en vie...) Rancho Luna. S´offrent alors a nous les traditionnelles eaux turquoises, les plages de sable fin, les palmiers, les
Le lendemain, nous plions bagages et partons pour Santa Clara, sur la cote centre de l´ile. Vous l´aurez compris, pas de plages, mais un héritage historique colossal. Le 29 décembre 1958, 18 hommes de la colonne du Che (mais sans le Che, resté au chaud...) parviennent a faire dérailler et prendre un train blindé de l´armée de Batista, rempli d´armes et de munitions. Cet épiosde décisif trace la voie au révolutionnaires qui entreront victorieux quelques jours plus tard a la Havane.
Aujourd´hui, le Che compte donc quelques statues et places a sa gloire, et le train blindé n´a pas bougé. Dans la ville, on se déplace en caleche. Pas tres rapide, mais moins cher et plus marrant que le taxi. Ville étudiante, Santa Clara jouit d´une grande animation la nuit, autour de la place principale. des groupes de musique comme on n´en voit plus en Europe (ni au Mexique d´ailleurs), des mecs tout droit sortis du film "Buena Vista Social Club", des grattes faites avec des bouts de bois récupérés. A Cuba on fait beaucoup avec pas grand chose... Mais il est temps pour moi de quitter mes compatriotes pour retourner dans mon deuxieme pays, le Mexique.
Pas facile de conclure... Cuba, l´enfer au paradis, mais toujours avec le sourire. La lucha sigue! Et la bise aux trois tocards qui m´ont accompagné ces trois semaines! ¡De puta madre compas!
Desde Trinidad, el camión nos lleva sobre 60km (por 2 horas de viaje...) a lo largo del mar del Caribe hasta Cienfuegos. Fundada por los franchutes, su nombre no tiene nada que ver con Camilo Cienfuegos, otro héroe de la revolución. Ubicada al fondo de una bahía, protegida de los piratas y de los caprichos de la naturaleza, la ciudad se convirtió en un rico puerto industrial. Pero ahora, con la decadencia, muchos barcos se están muriendo y dan un color "roya" al mar. Sin embargo, la ciudad aún tiene lindos edificios coloniales alrededor de la plaza José Martí (¡ese guey está por todos lados!) y del "boulevard".
En la noche, mucha animación en el barrio de Punta Gorda. No les voy a descibir las fiestas, ya no me acuerdo... Sin embargo, seguimos activos de día, particularmente para ir a la playa! A bordo de un urbano (100% cubano), llegamos vivos a Rancho Luna. Mar de color turquesa, arena fina, palmeras, vendedores de rón... Protegidos de las olas por una barrera de coral, pasamos la tarde sentados en el agua hasta el atardecer, cuando la temperatura del agua se volvió más caliente que la del aire. La noche cae, y ya no hay camiones. Regresamos pues en ride (pero tuvimos que pagar...) hasta Cienfuegos.
El día siguiente, nos movimos hasta Santa Clara, en la costa centro del país. Lo entendieron, aquí no hay playas pero una herencia importante de la revolución. El 29 de diciembre 1958, 18 hombres del Che (pero sin el Che) toman un tren blindado del ejército de Batista, llemo de armas y de municiones. Unos días despues los revolucionarios entran victoriosos en la Havana.
Ahora, el che tiene varias estatuas y plazas a su gloria, y el tren no ha movido. En la ciudad, andamos en carreta, menos rápido pero más divertido que el taxi! Ciudad estudiantina, hay mucha animación en las noches. Bandas con músicos llegando directamente de la película "Buena Vista Social Club", llevando guitarras hechas de pedazos de madera. En Cuba, hacen mucho con muy poco... Pero para mi llegó la hora de irme, y abandonar a mis cuates que no hablan español...
Difícil de concluir... Cuba, el infierno en el paraiso, pero siempre con una sonrisa. La lucha sigue!
Difícil de concluir... Cuba, el infierno en el paraiso, pero siempre con una sonrisa. La lucha sigue!
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